Mathilde Boucher a partagé 10 ans de son existence, à raison de sept heures par jour. Et puis du jour au lendemain, plus rien. La clarinette de Mathilde était son exutoire avant de devenir son pire cauchemar. La pression décomplexée et l’hypercompétitivité exacerbée, présente dans les conservatoires de musique, ont eu raison de sa passion. Elle nous raconte l’histoire de son burnout… à 18 ans !